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Conso, produits, réduction des risques.
Retrouvez les derniers articles en lien avec la pratique du chemsex.
Se lancer dans une session chemsex ne signifie pas consentir à tout ce qui est susceptible de nous arriver. De même que dans la vie de tous les jours, le chemsex est avant tout un espace privé dans lequel la liberté d’être soi et d’exprimer une sexualité socialement oppressée devient possible et normalisée dans cet espace.
La santé mentale occupe une place de plus en plus centrale dans les préoccupations collectives, sociales et politiques, notamment stimulée par la crise du Covid-19.
Si le TPE permet de se protéger après un rapport à un risque d’une potentielle infection au VIH, il existe aussi des solutions pour anticiper une éventuelle mise en danger. C’est notamment le cas de la PrEP, stratégie de prévention contre le VIH.
La descente, la redescente, le crash ou le comedown fait référence à la période qui suit l’effet euphorique et stimulant que procurent les substances qui ont été prises lors d’une session de chemsex.
Être en souffrance n’implique pas nécessairement avoir des idées noires, mais quand ces idées surviennent il peut être difficile de savoir comment agir.
Le Chemsex fait partie des pratiques sexuelles dites à risques. C’est-à-dire un rapport qui comporte des risques importants de transmission d’IST et/ou de contamination au VIH. Le TPE fait partie des solutions accessibles facilement à tous qui permettent de prévenir la propagation du virus après un rapport à risque.
Un “G-hole” est un état de coma provoqué par un surdosage de GHB/GBL qui dure généralement une à deux heures. Ces pertes de connaissance peuvent toutefois s’accompagner d’une dépression respiratoire puis d’un arrêt cardiaque causant la mort.
Un « K-hole » est un état de dissociation entre le corps et l’esprit provoqué par une dose élevée de kétamine ou une association avec d’autres substances psychoactives.